Joie des camps et concours de miss maliennes
Dix-huit heures. La lumière s’effaçait plus rapidement sous les manguiers. A une centaine de mètres, on entendait le brouhaha du village au-dessus duquel venaient parfois se plaquer les appels stridents du muezzin. L’odeur des feux du soir s’infiltrait jusqu’à nous. Les premières chauves-souris s’agitaient dans les arbres et s’essayaient à quelques vols. Des vaches s’attardaient […]